15 septembre 2022

M : 10/01/2023

 Liste des histoires : MACHINE QUI FUME, MAHUTRE SERAPHIN, JUGE DE PAIX,MARI TROMPE, MIDI JUSTE,

MACHINE (LA) QUI FUME YPF

Lors d'un congrès national syndical dans le sud-est , un collègue, connaissant ma passion pour les histoires "marrantes" m'a donné la copie de la lettre d'un agent.

Pour ne blesser personne, j'ai modifié les lieux et les noms mais pas l'orthographe. 

Jean Balai                                                                                          1er avril 1999

3 rue Ellefume

48999 SALLES VILLE

Au Syndicat Autonome des Agents Territoriaux de la Lozère

 

Monsieur,

Il ferra deux ans au mois de Mai que je conduit une balayeuse pour le nettoyage de la ville de Salles Ville.

Depuis quelque temps cette machine rejette beaucoup de poussière, plusieurs fois je le signale au mécanicien, celui-ci me répond que c’est normal les filtres sont sâle, il faut les tapper très fréquement, toute les 5 minutes environ à l’aide des manettes ce trouvant sur la machine, bien sur ce qui provoque une arrivé de poussière plus importante et fesant un nuage.

Ne supportant plus cette environnement continuel de poussière, Mercredi 31 mars au retour du néttoyage de la ville vers 11 h 30 je signale a mon chef d’équipe de dire a l’adjoint du Maire conserné que la machine ne fonctionne pas bien fesant trop de poussière, ce qu’il à fait en lui téléphonant.

Le jeudi 1er avril à 8 h l’adjoint chargé du matériel été présent. Je me trouvais dans l’atelier du dépôt municipal avec les autres collègues. L’Adjoint tous à coups me dit : Mr Balai il va falloir fermer votre grande gueule, vous commancez à ennuyer tous le monde et arrêtez de projéter de la poussière chez les commercants, de toute façon on est entreint de s’occuper serrieusement de votre ças. Surppri je lui répond que la machine restera à l’atelier et qu’il se trouve une autre personne pour sans servir ( quand je suis absent ou en congé personne ne fait fonctionner la machine) Il ya rien de telle à 8 h du matin pour vous scier les jambes, sans vouloir me demander d’explication personnellement.

En suivant le mécanicien prend la machine, bien sur je part avec lui, celui  ci commence à nettoyer la ville, l’adjoint été présent avec nous. Le chef d’Equipe nous à rejoint et c’est mis aussi à conduire la machine. L’Adjoint et le mécanicien sont resté une heure environt le chef d’équipe à conduit la machine jusqu' a 10 h 30 et puis me l’a remise à moi-même. Pendant toute la matinée la balayeuse à fonctionné comme d’habitude et ils tapaient les filtres très fréquement, la machine était couverte de poussière et le chef d’équipe avait de la poussière sur lui, je n’ai fait que constater une fois de plus le bon fonctionnement de la balayeuse comme ils disent. La matinée fini je rentre pour nettoyer la machine, par malchance je tombe en panne vers 11h15 devant l’Eglise elle s’arrête et ne veut plus redémarrer, en entende de voir et ne pouvant rien faire. Je rentre au dêpot municipal à 11 h 50, je vais voir le mécanicien, je lui dit que je suis en panne et il me répond, il est midi on verra ça à deux heures.

L’après midi je part voir la machine à 13 h 45 sur le lieu de la panne, elle veut pas démarrer, je vais chercher le mécanicien et il vien avec moi, manque de chance elle démarre, se qui n’arrange rien, je rentre au dépôt avec la machine, bien sur le chez d’Equipe me reçois en me demandant des explications, lui fesant comprendre qu’il y en avait assez je repard sur mon lieu de travail de l’après midi.

Le Vendredi 2 avril, le matin en prenant la balayeuse le mécanicien me dit simplement que la machine marche bien et qu’il faut tapper les filtres fréquement. Passe la matinée de nettoyage vers 10 h un commerçant me fait savoir que je fait de la poussière et que je lui salie les vêtements qu’il a exposé dehors pour la vente, je m’excuse auprès de lui, se qu’il à très bien compris. De colère de gêner les gens une fois de plus, je rentre au dépôt et la laisse sur place sans la nettoyer, je prend un ballet et je repard en ville finir la matinée. A midi je signale à mon chez d’équipe, q’un commerçant n’était pas content, celui-çi ne ma rien dit. Maintenant j’entend la suite, retour de veed kend Mardi matin.

En résumer :

-          Trop de poussière, mauvais fonctionnement je suis pas mécanicien pour le savoir.

-          Provoque maux de gorge, nez érité, malde tête et boutons sur le corps.

-          Je porte un masque anti poussière, ce qui un peu carnaval en ville.

-          Gêne des commerçants et des gens fesant leur course, étant sensible à cette situation cela m’ennuie de provoquer cette situation.

-          La machine doit fonctionner tant bien que mal suivant mes supérieurs c’est la personne qui fait mal sont travail.

-          Jusqu’où va la compreénsion ou l’absurdité ?

 

Cela devient un travail INSALUBRE et peut être un certain danger pour la santée.

A la dernière visite Médicale du Travail j’en avait parlé de l’état de poussière que provoque la balayeuse. On m’avait répondu que celle-ci ne provoque pas de maladie grave, que j’avais qu’a porter un masque anti-poussière et qu’étant fumeur cela provenait plutôt de la cigarette. D’autre personne ont sus me le dire aussi, le chef d’Equipe en particulier.

 

Dans l’attente de la suite à donner je remercie toute l’équipe Syndicale de bien vouloir me comprendre et vous envoie mes sincères salutations, ainsi que mes amitiées.

 

Mr Jean Balai 

MAHùTRE Séraphin :

Joueur du SASS rugby dans les années 1960, Séraphin Mahùtre (en français lourdaud) venait du "fin fond du Turrrsan" comme il disait. Il jouait à l'aile droite en première ligne. Il ressemblait à une bordelaise (barrique de 200 litres). En mêlée, il ne reculait pas et parfois il avançait.

1ère anecdote :

Après un match particulièrement à l'ancienne en Midi Pyrénées, le journaliste de Midol l’interviewe car il avait remarqué à la sortie que malgré la boue, ses godasses étaient très peu sales. Toute la partie, il les avait essuyées sur les maillots des adversaires.

Le journaliste lui dit :

"Je n'ose pas vous demander pourquoi vous n'avez jamais voulu jouer au football. Parlez moi Monsieur Mahùtre du rugby de manière intrinsèque.

Séraphin répondit aussitôt

Je préfère les terrains très hanguts (gras)

2ème anecdote  :

Le SASS alors en première division nationale jouait en plein hiver à Romans. L'équipe conduite par René Crabos prit le train à Orthez. Mahùtre s'était assis contre la glace son oreille type vieux chou fleur nettoyait peu la buée car ses cheveux l'a graissée.

Après Toulouse, le demi de mêlée Baptiste Nasabiague commençait à s'impatienter car le train traînait dans le Lauragais. Il interrompit les ronflements épais de Séraphin et lui dit :

"Séraphin à la prochaine gare,tu regardes où on est"

Réponse :

"Solide"

Le terrain s'arrête à Castelnaudary. Séraphin nettoie la glace. Il positionne ses deux mains contre ses tempes et se retourne et dit tout fort :

"A Bagagés"

3ème anecdote :

Le travail en touche du brave tursanais était de bousculer le sauteur adverse. Repéré, son homologue pilier en face, empêchait son travail en le poussant avant qu'il ne puisse déséquilibrer le grand "pingay".

Au bout de la demi heure de jeu, Séraphin dit à ses coéquipiers :

"Aquet sé countune qu'au tou un flambat (celui là s'il continue je lui fous un "flambat", mot d'argot gascon provenant du verbe flamba - brûler)

L'adverse a recommencé et à la touche suivante, il y avait un joueur adverse au sol.

MARI COCU ET JUGE DE PAIX

Cette histoire vraie devrait être contée en gascon, mais comme au tribunal, dans ce pays qui a volontairement tué ses langues régionales, on est obligé de parler français, je vais m'exprimer en français.

Un mari trompé rentre chez lui et trouve au lit son épouse avec son amant. Il secoue l'intrus en le jetant contre sa pendule comtoise et le blesse très légèrement. Il le laisse partir.

Au tribunal de Saint Sever à cette époque là, il y avait un juge dont tout le monde savait que son épouse avait également un amant.

Verdict : Amende modérée sans dommages

Après l'énoncé de la peine, le condamné dit : Monsieur le juge, je savais qu'avec nos situations similaires, je n'allais pas avoir une forte amende mais le plus terrible c'est , QUE LOU PIRE QUE M'A 

DESPLOUMBADE LA MI GRAN PENDULE ( le pire c'est que le "pire" m'a déréglé ma grande pendule)  

MIDI JUSTE

En Gascogne (on ne dira pas la cité), le barbier-coiffeur était un original. Un soir de printemps, la foudre était tombée dans le voisinage. Le compteur électrique du Figaro avait rendu l'âme. Il appelle l'organisme qui lui vendait l'électricité. 

Un agent arrive en fin de matinée, il commence la réparation et à l'angélus il pose le tournevis et dit au coiffeur, je reviens à 14 heures pour terminer.

A 14 heures, le technicien revient et vers 14 h 05, il quitte le salon de coiffure en remettant l'électricité.

Notre virtuose des ciseaux qui n'avait pas pu écouter le jeu de 100 000 anciens francs, estomaqué est resté muet.

Quelques jours après, le chef local de la compagnie d'électricité demande un rendez vous au coiffeur.

Réponse : demain à 11 h 45

Le lendemain, l'artisan commence son travail un peu avant 11 h 55 et à midi juste, il dit au cadre,

Je t'ai coupé la partie droite de la tête et tu reviendras à 14 heures pour la partie gauche. Tu demanderas le pourquoi à ton subordonné qui est venu changer mon compteur.

Le chef est revenu à 14 heures mais le frater a perdu un client..  

 

 

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